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Archives de Tag: roman graphique

La petite patrie / Claude Jasmin. Julie Rocheleau, Normand Grégoire

01 mercredi Nov 2017

Posted by uncoindeblog in Auteurs québecois, Pour les grands et les petits

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années 40, histoire, Montreal, quartier populaire, Québec, roman graphique

Normand Grégoire et Julie Rocheleau - La petite patrie.La petite patriehttps://i0.wp.com/moncoinlecture.com/wp-content/uploads/2017/10/Qu%C3%A9bec-en-novembre-2017.jpg

La petite patrie : d’après l’oeuvre de Claude Jasmin / Scénario de Normand Grégoire et Dessin et couleur de Julie Rocheleau. La Pastèque, 2015. 86 pages.

Publié en 1972, La petite patrie de Claude Jasmin est un roman autobiographique québécois qui a connu un vif succès. Chronique d’un quartier populaire de Montréal, il nous offre le regard d’un enfant de huit ans sur le monde qui l’entoure à l’aube des années 40 : la guerre, la religion, les jeux de ruelles, l’amour et la mort… Julie Rocheleau et Normand Grégoire nous offre une adaption du populaire roman de Claude Jasmin, un livre qui nous rappelle notre enfance et l’insouciance qui s’y rattache.

La petite patrie /Claude Jasmin. Typo, 1999. 134 pages.

Dans le style vif et familier qui lui est propre, Claude Jasmin évoque les souvenirs de son enfance montréalaise: la vie d’un quartier populaire, ses ruelles, son école primaire et son brouhaha quotidien. L’auteur y révèle son extraordinaire capacité à revisiter les souvenirs de toute une époque pour les fondre à son histoire intime. Désormais célèbre, ce roman autobiographique a connu un franc succès populaire, en partie grâce à son adaptation télévisée.

J’ai tout d’abord découvert cette bande dessinée au travers d’un article de presse. L’encensement était total et je n’ai donc pas su résister à la tentation lorsque je l’ai vu. Malheureusement mes souvenirs des éloges envers ce roman graphique étaient tels qu’en dépit d’un agréable moment de lecture, d’un graphisme sensible et rendant bien le quotidien de ces familles à l’aube de la seconde Guerre Mondiale, je ne comprenais pas vraiment les propos dithyrambiques (peut-être est-ce juste ma mémoire qui me joue des tours) qui m’avaient fait noter cette référence.

Bref j’ai décidé de dénicher le roman à l’origine de cette adaptation graphique, persuadée qu’ils me manquaient des éléments. Et, je ne le regrette absolument pas. En effet, les souvenirs de Claude Jasmin sont merveilleusement bien rendus dans son roman et au fil des pages, les choix d’adaptation et illustrations de Julie Rocheleau et Normand Grégoire s’éclairent réellement. Sans être une inconditionnelle du dessin de Julie Rocheleau, ses personnages à la physionomie ronde et simple me renvoient à des personnages enfantins et propres à certains illustrés de cette période. Le choix des couleurs parfois proches du sépia, ou jamais agressives complètent la palette graphique pour rendre l’image de cette année 1939.

L’ouvrage de Claude Jasmin (paru l’année de ma naissance) retrace avec un amour inconditionnel cette petite patrie, les ruelles de son enfance. Les petites joies, les drames imaginaires ou réels. Le quotidien de ces familles si proches et particulièrement de ces enfants heureux des moments partagés et des saisons. L’auteur raconte merveilleusement l’amour de ces enfants pour l’hiver et l’été. Deux saisons aux antipodes mais où la vie à l’extérieur rendait le quotidien toujours plus brillant pour ces têtes blondes. Il n’omet pas pour autant le temps scolaire, et ses enseignants plus ou moins heureux de leur métier. La part belle est également faite à ces petits métiers aujourd’hui disparus : le livreur de glace, le marchand des 4 saisons, le rémouleur et tant d’autres.

J’ai finalement passé de beaux moments de lecture et découvert la facette du Montréal des années 40 grâce à ces auteurs. Pour boucler le tout, il me reste à découvrir l’adaptation télévisée qui, aux dires d’une blogueuse québécoise, risque d’avoir pas mal vieillie. Je vais tester et, peut être vous raconter tout cela….

Les deux vies de Baudouin / Fabien Toulmé

03 dimanche Sep 2017

Posted by uncoindeblog in #Un peu de lecture

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contraste, Fabien Toulmé, famille, roman graphique, vie

Fabien Toulmé - Les deux vies de Baudoin.Les deux vies de Baudouin / Fabien Toulmé. Delcourt, 2017 (Mirages). 270 pages. 

Baudouin est un trentenaire solitaire, enfermé dans un quotidien monotone. Son frère, Luc, est à l’inverse un esprit libre, voyageur et séducteur. Un jour, Baudouin se découvre une tumeur qui ne lui laisse que quelques mois à vivre. L’anti-héros décide alors de tout plaquer pour partir avec son frère. Un récit touchant sur les liens familiaux et sur le thème universel de la réalisation personnelle.

Après « Ce n’est pas toi que j’attendais« , j’étais dans les meilleures dispositions pour ce nouvel opus de Fabien Toulmé. On y retrouve la place de la famille, la différence d’un autre point de vue que dans le roman très personnel déjà évoqué.

Baudouin est fort différent de son frère et n’a pas su trouver sa place, voulant trop répondre aux stéréotypes transmis par ses parents : sans aucun doute, sa façon à lui d’essayer de gagner leur amour, en l’absence d’une communication inexistante notamment avec son père. Mais il s’est lui-même perdu en grande partie. Plus de musique, sa passion dont il souhaitait vivre. Un boulot qui ne répond guère à ses critères, un petit chef totalement imbu de lui-même et qui le maintient sous sa coupe de bien des manières : en le chargeant et en l’humiliant dès qu’il le peut.

Sa bouffée d’oxygène : son frère. Aux antipodes.  Et, qui va le pousser dans ses retranchements, lui permettant de se lancer dans la vie, ENFIN.

Oui la chute me semblait évidente, mais je n’en ai pas moins suivi avec bonheur et émotion cette histoire entre deux frères et cette volonté de prendre la vie à bras le corps. L’existence de tout un chacun est difficile, parfois nos espoirs se sont brisés mais sans une bouffée d’oxygène, on ne peut survivre. C’est ce que Luc va offrir à Baudouin : réapprendre à communiquer, à dire son amour à ses parents, à claquer la porte d’un bureau qui ne lui convient pas, à voyager, reprendre la musique et rencontrer des femmes en attendant l’espoir de l’amour. Il va l’obliger à faire un bilan sur lui-même, à noter tout ce qu’il attend du lendemain et l’aider à devenir autonome.

Daytripper / Fabio Moon et Gabriel Ba

22 mardi Août 2017

Posted by uncoindeblog in Traduit du portuguais (Brésil)

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Fabio Moon, famille, Gabriel Ba, mort, roman graphique, sentiment, vie

Image associéeDaytripper  : au jour le jour/ Fabio Moon et Gabriel Ba. Traduit par Benjamin Rivière. Couleur de Dave Stewart. Urban Comics, 2012 (Vertigo). 250 pages

Les mille et une vies d’un aspirant écrivain… et ses mille et une morts. Brás de Oliva Domingos, fils du célèbre écrivain brésilien, passe ses journées à chroniquer les morts de ses contemporains pour le grand quotidien de Sao Paulo… et ses nuits à rêver que sa vie commence enfin. Mais remarque-t-on seulement le jour où notre vie commence vraiment ? Cela commence-t-il à 21 ans, lorsque l’on rencontre la fille de ses rêves ? A 11 ans, au moment du premier baiser ? A la naissance de son premier enfant peut-être ? Ou au crépuscule de sa vie…

Une envie de roman graphique m’a fait prendre celui-ci. La couverture ne me parlait qu’à moitié alors je l’ai un peu feuilleté. Sans être totalement sous le charme du trait j’ai décidé de tenter la lecture. Parfois l’instinct et le hasard donnent de très bonnes surprises.

Original dans son thème et par son traitement. La mort est ici le sujet central mais pas que. Glauque me direz-vous ? Encore plus ces dernières années et ces derniers jours. Détrompez-vous. Le tout est fait avec beaucoup d’intelligence et nous rappelle simplement notre condition mortelle. La grande faucheuse peut intervenir n’importe où, n’importe quand. Simple hasard, maladie, mauvaise rencontre. Pour l’évoquer les deux frères que sont Fabio Moon et Gabriel Ba jouent sur tous les tableaux. Bras, le personnage principal est aspirant écrivain et fils de. A défaut d’avoir la célébrité de son père, il rédige des chroniques mortuaires pour un journal. La boucle est quasi bouclée.

En 10 chapitres, 10 tranches de vie de cet homme, dix moments où la mort aurait pu aller à sa rencontre, à différents âges, il nous raconte son univers, ses passions, ses amours, sa famille et ses souvenirs. Comme des petites touches ou au travers d’instantanés nous allons le découvrir lui et son existence ainsi que des personnages récurrents dont ses parents, figures centrales de son univers, son ami Jorge, ses amours, son fils.

Bien entendu la mort nous arrache à chacun de ces chapitres mais avant cela nous auront le temps de nous attacher à ces petits moments de bonheurs ; le tout est présenté avec beaucoup de sensibilité et une immense tendresse pour ce personnage qu’il ait 76 ans ou 11 ans. Dans ce chapitre les couleurs sont plus vives, les traits des personnages comme des paysages plus affirmés. Vous l’aurez compris chaque chapitre est différent par sa chute et son traitement et même si la mort est toujours là, jamais elle n’est la même.

Avec une très grande pudeur, les auteurs se sont donc penchés sur cette fin que nous préférons tous ignorer, tout en sachant qu’elle est inexorable.

Famille nombreuse / Chadia Chaibi Loueslati

17 lundi Juil 2017

Posted by uncoindeblog in #Un peu de lecture, Pour les grands et les petits

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Chadia Chaibi Loueslati, Famille nombreuse, France, quotidien, roman graphique, Tunisie

Chadia Chaïbi Loueslati - Famille nombreuse.Famille nombreuse / Chadia Chaibi Loueslati. Marabout, 2017 (Marabulles). 192 pages

Chadia Chaibi Loueslati signe ici son premier roman graphique. Elle raconte l’histoire de sa famille et de ses parents, le Daron et Omi, qui ayant quitté la Tunisie, sont venus s’installer en France dans les années 1960. C’est une saga familiale, la découverte d’un pays et de toutes ses bizarreries culturelles et administratives au travers de l’épopée d’une famille immigrée. La ténacité et le courage, l’humour et la chaleur de cette famille nombreuse, le talent de l’auteure font de ce livre une œuvre originale et passionnante.

Tout. J’ai tout aimé dans ce beau roman graphique et autobiographique de Chadia Chaibi Loueslati. Moi qui n’était pas une fervente du noir et blanc (même si je l’appréhende beaucoup moins aujourd’hui), j’ai totalement adhéré à son trait, à ce choix de couleurs agrémentés de jaune flashy qui met en exergue des détails ou simplement souligne les planches.

Histoire d’une famille d’origine tunisienne dont le père est initialement venu pour un travail (balayeur pour la RATP), qui fait la navette pour retrouver sa famille pendant ses congés et voit sa famille s’agrandir ; Omi (la maman) gérant au quotidien tout. Année 72 : le regroupement familial permet à la famille de se retrouver en France dans un taudis. La vie idéale, meilleure, n’est pas tout à fait là, mais les espoirs demeurent et, opiniâtre et économe la famille souhaite acheter un appartement. Les déconvenues continuent. Mais c’est sans compter sans la force d’Omi qui saura récupérer son bien et va continuer avec force à trouver le bien idéal pour accueillir la famille qui croit toujours.

Du rire aux presque larmes, l’auteur nous raconte le quotidien de cette famille et rend un vibrant hommage à ses parents, courageux et travailleur. Une famille ballottée entre les traditions et la vision française. Le regard des voisins, de l’administration sur cette famille trop(?) nombreuse. Débrouillarde, volontaire Omi fait tourner tout son petit monde du mieux qu’elle peut, parfois un peu militaire mais comment faire avec un salaire, un 5 pièces  et des enfants toujours plus nombreux. Chacun des membres de la famille sont présentés avec affection, défauts et qualités ne sont pas oubliés, au grand déplaisir des frères et soeurs qui veulent s’immiscer dans la narration de leur soeur. Tout cela rend cette BD toujours plus vivante et drôle.

Hâte de découvrir la suite.

L’excellent billet de Stéphie.

Habibi / Craig Thompson

03 jeudi Sep 2015

Posted by uncoindeblog in Pour les grands et les petits, Traduit de l'anglais

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adultes, BD, roman graphique, Thompson

amaricaLe Mois américain chez Titine (cliquer sur l’image)

Habibi / Craig Thompson. Traduit de l’anglais (américain) par Anne-Julia & Walter Appel, Paul Pichereau, Laëtitia & Frédéric Vivien. Casterman, 2011. (écritures). 671 pages.

Ancré dans un paysage épique de déserts, harems et bâtiments industriels, Habibi raconte l’histoire de Dodola et Zam, deux enfants liés par le hasard, puis par un amour grandissant. Réfugiés dans l’improbable épave d’un bateau échoué en plein désert, ils essaient de survivre dans un monde violent et corrompu. Seule la sagesse des récits narrés par la jeune femme, issus des Livres sacrés et des traditions orientales, pourra les protéger de l’avidité des hommes.
A la fois contemporain et intemporel, Habibi est une histoire d’amour aux résonances multiples, une parabole sensible et lucide sur le monde moderne et la relation à l’autre. Avec Habibi, Craig Thompson signe un travail graphique d’une impressionnante sophistication, marqué du sceau du merveilleux.

C’est la couverture de ce roman graphique qui m’a tout d’abord attiré. Son épaisseur m’a surprise et je n’étais pas au bout de mes surprises. A la fois imaginaire et réel, cet ouvrage est fait de contrastes : par son graphisme, dans l’histoire elle-même qui mêle le quotidien, parfois âpre et la vie rêvée qui se brise si rapidement, le tout entrecoupé de références érudites sur le Coran et la Bible, les secrets de la calligraphie arabe, des extraits de légendes et des bribes de récits à la façon de Mille et Une nuits. Histoire dans l’histoire lorsque le sultan donne un certain nombre de nuits à Dodola avant de se lasser d’elle, avant de la tuer. Forcément la référence à Shéhérazade est aisée dans ce contexte, mais bien d’autres histoires se retrouvent dans ce conte quasi sans fin si ce n’est l’espoir pour Dodola et Zam de se retrouver un jour.

Avancée du désert,  folie et violence des hommes, esclavage, Craig Thompson semble avoir réellement voulu condenser bon nombre de thématiques qui lui sont chers. Alors parfois, la lectrice que je suis fut un peu désarçonnée, tant d’érudition au coeur d’un récit à la fois si dur et si tendre, au réalisme cru ; ainsi, on découvre que ce n’est pas grâce à la bonté d’âme des caravaniers que Dodola revient avec des provisions. A la manière de Zam, lentement mais amèrement on découvre la réalité. Dodola le berce, lui raconte des histoires dans lesquelles nous nous laissons entrainer. Jusqu’à son enlèvement…

Zam et Dodola n’auront plus qu’un seul but : se retrouver mais pour cela ils vont devoir traverser bien d’autres univers, bien loin de leur paradis / bateau perdu. Soubresauts du quotidien, de notre futur, une nouvelle fois l’auteur se fait le chantre de ses craintes : la guerre de l’eau, les problèmes environnementaux. Mais Zam et Dodola, envers et contre tout, font face et reprennent le chemin de leur vie, unissant leurs cultures, leurs couleurs de peau, leur sensualité et leurs souffrances passées.

A découvrir, à reprendre tranquillement sans se bousculer tant ces récits se mêlent et les clés de lecture sont différentes, dépendant certainement de ce que l’on y cherche ou de ce l’on veut bien y voir.

Petit canard blanc / Na Liu & Andrés Vera Martinez

26 dimanche Juil 2015

Posted by uncoindeblog in Pour les grands et les petits, Traduit de l'anglais (Etats-Unis)

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Chine, enfance, roman graphique

Petit canard blanc : Une enfance en Chine / Na Liu & Andrés Vera Martinez Traduit de l’anglais par Jean-Marc Lainé . Urban China, 2015. 107 pages

En Chine, dans les années 1970, le monde est sur le point de changer pour deux petites filles. Pendant des décennies, le gouvernement chinois a gardé le pays séparé du reste du monde, mais à la mort du président Mao, de nouvelles opportunités commencent à émerger. Da Qin et sa petite sœur Xiao Qin vivent à Wuhan ; leur enfance sera bien différente de ce qu’ont connu leurs parents… Ces huit histoires courtes – inspirées de la vie de l’auteur – donnent au lecteur un regard unique sur l’enfance et l’éducation dans la Chine de cette époque.

Je suis partagée par ce court roman graphique car j’ai trouvé les huit histoires / faits d’enfance à la fois beaux, sincères vus avec la mémoire de l’enfance et en même temps c’est trop court et pas assez explicites lorsque l’on s’intéresse a minima à l’histoire de la Chine. Alors oui vous trouverez une courte chronologie en fin de volume mais cela ne donne pas toutes les explications qu’un enfant ou un adulte lisant cette histoire pourrait attendre. Du côté du dessin, le fait de mêler vie quotidienne et rendue d’affiches ne m’a pas dérangé, mais le graphismes de certains éléments (le buffle par exemple) m’a davantage intrigué – je chipote, sans doute-.

Néanmoins en narrant ces historiettes portant sur 4 ans de son enfance (1976-1980), Na (ou Da Qin/ Grand piano) ne cherche pas à retracer l’histoire mais à donner des instantanés d’un passé qui n’existe plus, à retracer des faits marquants : la mort de Mao, la chasse aux nuisibles par exemple… ou à travers l’histoire de ses parents, ce que le communisme a apporté : l’éducation pour son père ou des soins gratuits pour sa mère, du riz sur chaque table et un rappel des terribles famines qui ont marqué le pays. Enfin, en se rendant dans le village paternel, elle prendra conscience qu’elle-même a des privilèges que ses cousins n’ont pas : elle est propre, possède des vêtements la distinguant des autres et sait lire.

C’est donc à la fois des faits historiques, le quotidien (un mix : sa soeur ayant été conçue avant la loi sur la natalité, elle eut le droit de naître, mais une seule enfant avait une place à l’école), les faits marquants : le nouvel an et un mélange habile de légendes du passé : Nian le monstre. En dépit de mes remarques liminaires, l’ouvrage est attachant et on suit avec plaisir le quotidien de cette fillette.

Je vous laisse sur la conclusion de l’ouvrage : « En repensant à mon enfance en Chine, je me rends compte que c’était une époque spéciale, les enfants pouvaient observer les difficultés auxquelles  leurs parents avaient été confrontés pour survivre, pour réussir leur vie, et grâce à cela, il nous était plus facile de construire notre propre avenir. »

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