• À propos

uncoindeblog

uncoindeblog

Archives de Tag: meurtre

Depuis le temps de vos pères / Dan Waddell

10 samedi Mar 2018

Posted by uncoindeblog in Traduit de l'anglais

≈ 2 Commentaires

Étiquettes

Dan Waddel, enquête, généalogie, meurtre, mormons

Dan Waddell - Depuis le temps de vos pères.Depuis le temps de vos pères / Dan Waddell. Traduit de l’angalis par Jean-René Dastugue. Actes Sud, 2013 (Babel Noir).

Tout juste remis d’une enquête qui a manqué lui coûter la vie, l’inspecteur Grant Foster réintègre la Criminelle de Londres lorsque Katie Drake, actrice de théâtre sur le déclin, est retrouvée morte dans le jardin de sa propriété londonienne. Sa fille de quatorze ans, Naomi, est introuvable. Mais difficile de progresser quand la victime semble avoir coupé tout lien avec son passé. Une seule piste : un cheveu retrouvé sur le corps.
Lorsque les résultats des analyses ADN révèlent qu’il appartient à un parent de Katie Drake, Foster décide de faire appel au généalogiste Nigel Barnes pour tenter de retracer l’histoire familiale de la défunte. Barnes parvient à retrouver certains parents éloignés en remontant jusqu’en 1891, mais il semble impossible de pousser plus loin les recherches. Pourtant, il faut briser rapidement la malédiction qui frappe cette lignée.
Des vies sont en jeu. L’Eglise des Mormons est manifestement liée à l’affaire et entend protéger ses secrets de famille. A Salt Lake City, les enquêteurs plongent au coeur des archives colossales de la communauté pour découvrir une congrégation aux pratiques redoutables et comprendre pourquoi le dogme “Jusqu’à ce que la mort nous sépare” n’existe pas pour ses disciples. Ils ne font qu’obéir aux commandements. Aussi sanglants soient-ils.

J’étais certaine de vous avoir parlé ici de ‘Code 1879″ qui m’avait scotché, mais il semble, une nouvelle fois, que mon retard de billets soit aussi vertigineux que les piles de livres qui m’attendent. J’avais compris que cet opus était beaucoup moins bon que le premier mais je me suis laissée néanmoins tentée. – Je viens également de lire qu’il existait des détracteurs quant au dernier volume paru. –

S’il n’y a plus la même surprise, dû en grande partie à la nouveauté : personnages, méthodologie de l’enquête comme de la thématique, je me suis néanmoins laissée prendre par ma lecture. Je ne me souviens pas si dans le premier opus, l’auteur nous donnait des clés parallèles en nous narrant des faits anciens mais c’est le cas ici. S’ils ne nous éclairent pas totalement quant au dénouement de l’affaire qui intéresse Foster, cela donne aux lecteurs quelques pistes de réflexions. Sans avoir lu la 4ème de couverture, l’évidence des mormons et de leur archives comme de personnes ayant voulu disparaître en changeant de pays et/ ou de noms m’ont rapidement traversé l’esprit.

L’atout majeur de cette saga, comme souvent, est l’attachement du lecteur envers les protagonistes de l’histoire. Foster est à la fois la pierre angulaire, mais également celui dont les faiblesses sont parmi les plus intéressantes. Nigel Barnes en présente d’autres dont une certaine forme d’inadaptation à notre siècle mais il reste intéressant par ses choix de vie et sa passion/ profession. Une passion qu’il met au service des enquêtes de Forster (et qui lui ont permis de lui sauver la vie dans le 1er volume) et mettent en lumière la généalogie, les enquêtes papiers mais aussi l’ADN etc.

Comme d’habitude, vous pouvez lire des avis négatifs ou un peu moins positifs, mais le seul moyen de savoir et de lire et de vous faire votre propre avis. Vive la lecture !

Tant que dure ta colère / Asa Larsson

31 vendredi Mar 2017

Posted by uncoindeblog in Traduit du suédois

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

Asa Larsson, collaboration, meurtre, noyade, Suède

Asa Larsson - Tant que dure ta colère.Tant que dure ta colère / Asa Larsson. Traduit du suédois par Rémi Cassaigne. Albin Michel, 2016. 331 pages

Au nord de la Suède, à la fonte des glaces, le cadavre d’une jeune fille remonte à la surface du lac de Vittangijärvi. Est-ce son fantôme qui trouble les nuits de la procureure Rebecka Martinsson ? Alors que l’enquête réveille d’anciennes rumeurs sur la mystérieuse disparition en 1943 d’un avion allemand dans la région de Kiruna, un tueur rôde, prêt à tout pour que la vérité reste enterrée sous un demi-siècle de neige…

Après La piste noire, voici le 3ème volet de la série toujours proposée par Albin Michel (un peu en retard pour mon billet, j’avoue) où l’on retrouve les protagonistes habituels. Contrairement à de nombreux auteurs Asa Larsson donne quelques indices sur le passif de ces personnages mais ne nous fait pas un laïus (je dois avouer que j’aime autant). Une nouvelle enquête mais une continuité dans cette histoire ce qui nous les rend toujours aussi intéressants et permet au lecteur de s’attacher à eux.

Le seul petit hic de sa narration qui a fini par me déranger et (appelons là comme bon vous semble) la présence de la jeune fille décédée. Si de prime abord cette aura ne me gênait absolument, progressivement je l’ai trouvée un peu pesante, même si elle nous permet de voir des éléments au travers de ce regard et « pas seulement » sous la plume narrative de l’auteur.

Cette enquête nous plonge à la fois dans l’époque moderne, le village quasi à l’abandon peuplé de personnes âgées qui attendent ou n’attendent plus les visites. La présence exceptionnelle des jeunes est perçue comme un tourbillon de vie pour leur parenté. Mais également pendant la Seconde Guerre Mondiale, époque florissante pour le commerce et les échanges avec les allemands. Sous couvert d’une enquête moderne, Asa Larsson nous replonge dans le passé de la Suède, sur ses relations avec l’Allemagne nazie et la collaboration de quelques uns non par conviction mais pas appât du gain.  Les plus bas instincts de certains êtres humains refont surface et lorsqu’il s’agit ensuite de taire les faits, ils ne sont plus à  une manipulation.

Peut être d’une apparence moins fouillée politiquement que le précédent opus, j’ai perçu ce volume comme une transition, une recherche d’équilibre après les événements de La piste noire.

Un appartement à New York / Jane Smiley

29 mercredi Mar 2017

Posted by uncoindeblog in Traduit de l'anglais (Etats-Unis)

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

Jane Smiley, meurtre, Milieu artistique, New York, relations humaines

Jane Smiley - Un appartement à New York.

Un appartement à New York / Jane Smiley. Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Anne Damour. Rivages Poche, 2016. 301 pages.

L’appartement de Susan et Dennis est le port d’attache d’une bande de copains originaires du Midwest, installés à New York dans les années 80. Ils se voyaient déjà… former un groupe de rock, rester unis quoi qu’il arrive. Un unique album sort et les liens se distendent. Un matin, Alice fait une terrible découverte : les corps sans vie de Dennis et de leur ami Craig. Comment a-t-on pu en arriver là ? Avec un diabolique sens du suspens, Jane Smiley nous offre un roman attachant, disséquant les secrets et les blessures au coeur de toute relation.

Dans L’exploitation, Jane Smiley nous racontait l’explosion familiale. Dans un milieu tout à fait différent : urbain, elle va nous montrer comment un groupe d’amis pour qui les notions d’amitié, de solidarité semblaient inébranlables à l’image du couple formé par Susan et Dennis va peu à peu s’effriter.

La narration se déroule à New York et commence à la manière d’un polar : 2 cadavres, 2 musiciens toujours en quête de gloire bien des années après des espoirs déçus. Autour d’eux des amis du même milieu ou liés à leur existence car rencontrés au moment de leur lancement (échoué) sur orbite. Alice est une amie de leurs années d’étudiants et est liée à Susan. Détachée de cet univers, elle est bibliothécaire ; elle a suivi le mouvement de la venue à New York avec son mari de l’époque, poète, cherchant lui-aussi, la renommée.

Autour de ces cadavres, de ses amis et de cette enquête où toutes les pistes sont possibles (les clés de l’appartement ayant été largement copiées et diffusées), ces assassinats jouent quasi un rôle de catalyseur et entraînent ces amis, ex-amis ou faux amis à se dévoiler. Les non-dits deviennent des reproches, des amertumes. Vaille que vaille Alice tente de garder des liens si distendus soient-ils avec chacun et surtout à aider son amie Susan qui vient de perdre son compagnon et qui fut toujours présente pour elle, rocher au milieu de l’océan. Progressivement Alice va s’interroger sur les réactions des uns et des autres, voient les liens qu’elle croyait amicaux s’effilocher, apparaître sous un nouvel éclairage. Est-ce ce nouvel homme dans sa vie, la découverte des deux morts ou le comportement inexpliqué de ces relations ? Bref des changements se déroulent sous ses yeux alors que la police cherche à retrouver le meurtrier : figure amicale, proche ou règlement de compte ? D’apparence banale, le contenu est loin de cette image d’enquête policière.

L’esprit des morts / Andrew Taylor

16 lundi Jan 2017

Posted by uncoindeblog in Traduit de l'anglais

≈ 1 Commentaire

Étiquettes

Andrew Taylor, Edgar Allan Poe, meurtre, secrets de famille

Andrew Taylor - L'esprit des morts.Fichier 02-07-2016 20 14 56

L’esprit des morts / Andrew Taylor. Traduit de l’anglais par Françoise Smith. Cherche midi, 2016. 648 pages

Sur les traces d’Edgar Allan Poe, un thriller gothique d’une intensité rare. Londres, 1819. Thomas Shield devient le professeur particulier d’un jeune Américain, Edgar Poe, et de son meilleur ami, Charles Frant, dont la mère, une femme séduisante et malheureuse, l’attire irrésistiblement. Lorsqu’un homme est retrouvé mort et que tous les indices convergent vers la famille Frant, Thomas est emporté dans une spirale dont les conséquences risquent d’être lourdes pour lui.
Il décide alors de trouver le coupable mais le piège se referme au fur et à mesure qu’il cherche à s’en échapper. Quel est donc le lien entre ces macabres événements et le jeune Edgar Poe ? Thomas devra traverser bien des épreuves avant que la vérité soit enfin dévoilée… Mêlant avec brio fiction et réalité, ce roman à l’intrigue haletante nous plonge dans l’atmosphère de l’Angleterre du XIXe siècle, où Edgar Allan Poe passa quatre années de son adolescence : l’agitation des rues londoniennes, les taudis de St Giles et Seven Dials, l’hypocrisie d’une bourgeoisie avide de pouvoir…
Un décor parfait pour un meurtre, des secrets de famille et une galerie de personnages loin d’être aussi respectables qu’ils voudraient le faire croire.

Edgar Allan Poe n’est ici qu’un prétexte, mais néanmoins bien amené et utilisé à bon escient pour suivre l’existence de Thomas Shield, jeune homme à la vie déjà bien remplie que nous allons suivre tout au long de ces pages et qui est le narrateur de cette histoire. A la fois protagoniste, pierre angulaire de ce roman écrit dans un style qui n’est pas sans rappeler les ouvrages de la période décrite, ce récit se voulant la fidèle transcription des faits vécus.

Andrew Taylor part de simples faits divers, de situations quotidiennes et d’un homme issu d’une extraction modeste pour mieux le jeter dans une aristocratie, au milieu de parvenus également. Comme dans tous les récits de cette époque qui se doivent, l’argent, les héritages sont au coeur même de ces épisodes. L’auteur y a ajouté une pincée de malversations, de meurtre et de faits historiques. Il nous entraîne dans tous les milieux de cette période (ou presque), dans l’ivresse de la jeunesse, de l’âpreté, le quotidien et une enquête où les faux semblants s’emmêlent comme bien souvent. L’ensemble est riche et bien mené, même si le héros parfois tête à claques -à mon sens- se rue dans toutes les situations les plus désavantageuses (ou presque) à son égard. Ce n’est pas une enquête de Sherlock Holmes, cela a parfois la saveur de ses fresques du XIXème siècle, mais avec une part historique  et de mise en abîme des éléments qui en font un bon roman du XIXème siècle. Idéal pour une bonne soirée (plusieurs) au coin du feu – pour conserver cette image du passé.

Avant la tourmente / Anne Perry

09 samedi Juil 2016

Posted by uncoindeblog in Traduit de l'anglais

≈ 1 Commentaire

Étiquettes

1ère Guerre Mondiale, Anne Perry, enquête, meurtre, Reavley, Services secrets

Avant la tourmente / Anne Perry. Traduit de l’anglais par Jean-Noël Chatain. 10/18, 2007(Grands Détectives). 457 pages.

Juin 1914, Cambridge. Pour Joseph Reavley, professeur à St John, cet été idyllique est anéanti par la mort de ses parents dans un accident de voiture. En lui annonçant l’horrible nouvelle, son frère Matthew, agent des services secrets britanniques, lui révèle que leur père lui apportait justement un mystérieux document… Les deux frères se mettent alors en quête de ce fameux dossier concernant un sinistre complot, et rejoignent leurs soeurs Hannah et Judith dans la demeure familiale.

Sans doute ce roman n’a pas eu le même retentissement pour les lecteurs  qui l’ont lu à sa sortie. Mais presque 10 ans plus tard, je n’ai pu m’empêcher de penser à Downton Abbey (avec une famille beaucoup moins aisée) ou aux Peaky Blinders (les références à l’espionnage et au mouvement irlandais). Cela est somme toute assez logique puisque la 1ère série commençait un peu en amont de la 1ère Guerre Mondiale, la seconde après.

Il s’agit d’une nouvelle saga pour Anne Perry qui a prévu 5 volumes (tous parus) et nous entraîne dans l’histoire d’une famille qui subit les changements d’une époque et va endurer les bouleversements de la Guerre 14-18. Mais ce 1er volume n’en est pas encore là, car il pose avant tout les personnages et les événements qui vont mener les pays à se faire la guerre. Habilement Anne Perry nous glisse dans les faits historiques via le décès des parents Reavley qui pourrait bien être le fruit d’un assassinat. Avec un fils, agent des services secrets britanniques, nous pourrions nous attendre rapidement à être dans le vif du sujet, mais l’auteur a opté pour une autre approche : celle de l’aîné de la famille qui voit sa vie chamboulée par ces disparitions et par celui d’un élève dont il croyait être proche et qui la veille de sa mort, revendiquait être contre la Guerre. Nébuleux me direz-vous, cherchant les tenants et aboutissements de tout cela ?

Certes, je l’avoue, l’ouvrage présente des longueurs qui pour un premier opus peuvent s’expliquer. Après nous avoir dresser le portrait des 4 frères et soeurs ainsi que leurs traits de caractère les plus marquants, le lecteur est en droit d’en attendre davantage. Ce n’est pas dans ce volume que vous allez trouver votre bonheur. Ici il s’agit d’une sorte de mise en abîme, d’enquêtes pour trouver le / les meurtriers des époux Reavley et du jeune Allard ; pour ce dernier l’inspecteur n’est pas sans nous rappeler l’inspecteur Columbo – Trait d’humour de l’auteur ? Je ne sais, car n’oublions pas le contexte de cet été 1914.

Non je n’ai pas été totalement transporté par ce volume, mais Anne Perry joue habilement avec l’histoire et avec les lieux. Certaines descriptions peuvent paraître aux yeux de certains, trop longues, mais d’autres pourraient être comblés en revivant à la fois une époque et en se glissant dans l’existence d’une bourgeoisie, et des lieux. Pas parfait, mais je suis prête à poursuivre, surtout que le personnage de la jeune soeur propose des traits d’indépendance susceptibles de créer des situations cocasses ou fort mal venues pour une jeune femme de cette époque.

Trefoil n’a pas aimé et argumente (me faisant sourire au passage).

Le testament des abeilles / Natacha Calestreme

19 lundi Oct 2015

Posted by uncoindeblog in #Un peu de lecture

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

Abeilles, enquête, meurtre, Natacha Calestreme, secte

Le testament des abeilles / Natacha Calestreme. Albin Michel, 2011. 343 pages

Brusquement pris de démence, un homme sans histoire massacre sa famille avant de se suicider ; les habitants d’un petit immeuble du XIIIe sont décimés par un mal inexplicable… En quelques jours, une véritable hécatombe s’est abattue sur Paris et 26 adultes et 15 enfants ont trouvé la mort. Aucun lien apparent entre ces drames, sauf peut-être le dessin d’une fleur de lotus (symbole de pureté), retrouvé chaque fois à proximité des lieux.
Secte, terrorisme, sadique, rien ne semble coller… jusqu’à ce que le major Yoann Clivel découvre un texte prophétique, écrit quatre ans plus tôt par un certain « Moine aux abeilles » et annonçant l’arrivée d’un élu : « L’année 1 du deuxième millénaire, l’enfant éclairé de réponses croisera l’ombre, en une folie meurtrière… ». Ce « testament » énigmatique servirait-il de fil conducteur à un hypothétique assassin ?

En lisant « Le voile des apparences« , j’ai découvert que l’auteur avait déjà écrit un 1er roman avec les mêmes personnages et s’intéressant aux abeilles. Intriguée, je suis allée découvrir ce volume. J’avoue qu’ayant des éléments de réponse liés au devenir du major Yoann Clivel, je suis moins tombée sous le charme en termes humains (en clair, si vous n’avez pas encore lu Natacha Calestreme, peut-être faut-il mieux commencer dans l’ordre, même si chaque histoire est indépendante). Dommage car l’histoire est contemporaine et nous parle : OGM, abeilles, secte improbable, utilisation d’internet et meurtres incompréhensibles. Tous les éléments sont là pour faire de ce roman un bon polar, même si j’ai craint quelques minutes un profond délirium à l’évocation d’un groupuscule, mais tout est logique, s’explique.

L’intérêt de ce roman est certainement de parler de faits se déroulant non pas dans une ville inconnue, mais près de moi, à Paris et cela change beaucoup de choses. L’auteur met les mots sur le comportement de notre police, les guerres internes entre PJ et Crime, les moyens distincts, l’intérêt des uns et des autres pour une promotion, ou une reconnaissance. Elle décrit clairement chaque scène et nous la restitue quasi filmée. Elle mène enquête et personnages de main de maître nous les présentant en les rendant attachants, proches de nous par leurs défauts et leurs caractères ; du coup, le lecteur s’attache à eux et avides de connaître ce qui va advenir d’eux. Je suis déjà prête pour lire la suite.

A lire / à découvrir, si cela n’est pas encore fait.

Articles récents

  • Le chasseur de lapins / Lars Kepler 21 juin 2018
  • Un clafoutis aux tomates cerises / Véronique de Bure 18 juin 2018
  • Trilogie des ombres. Tomes 1 et 2 / Arnaldur Indridason 16 juin 2018
  • La fille sauvage / Jim Fergus 13 juin 2018
  • La vie est un millefeuille à la vanille / Lars Vasa Johansson 11 juin 2018

Commentaires récents

WordsAndPeace dans Si tu passes la rivière / Gene…
Karine:) dans La petite patrie / Claude Jasm…
Mal de mère –… dans Mal de mère / Rodéric Val…
La chèvre grise dans Trilogie des ombres. Tomes 1 e…
Ankya dans Le pensionnat des innocentes /…

Catégories

Archives

Propulsé par WordPress.com.

Confidentialité & Cookies : Ce site utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site, vous acceptez leur utilisation.
Pour en savoir davantage, y compris comment contrôler les cookies, voir : Politique relative aux cookies
  • Suivre Abonné∙e
    • uncoindeblog
    • Rejoignez 27 autres abonnés
    • Vous disposez déjà dʼun compte WordPress ? Connectez-vous maintenant.
    • uncoindeblog
    • Personnaliser
    • Suivre Abonné∙e
    • S’inscrire
    • Connexion
    • Signaler ce contenu
    • Voir le site dans le Lecteur
    • Gérer les abonnements
    • Réduire cette barre
 

Chargement des commentaires…