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Archives de Tag: écrivain

La grâce des brigands / Véronique Ovaldé

30 vendredi Juin 2017

Posted by uncoindeblog in #Un peu de lecture

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archaîsme, écrivain, famille, intégrisme, jalousie, Véronique Ovaldé

Véronique Ovaldé - La grâce des brigands.La grâce des brigands / Véronique Ovaldé. Editions de Noyelles, 2013. 284 pages.

Quand Maria Cristina Väätonen reçoit un appel téléphonique de sa mère, dont elle est sans nouvelles depuis des années, l’ordre qu’elle avait cru installer dans sa vie s’en trouve bouleversé. Celle-ci lui demande instamment de venir chercher pour l’adopter Peeleete, le fils de sa soeur. Nous sommes en juin 1989, Maria Cristina vit avec son amie Joanne à Santa Monica (Los Angeles). Cela fait vingt ans qu’elle a quitté Lapérouse, et son univers archaïque pour la lumière de la ville et l’esprit libertaire de la Californie des années 70.
Elle n’est plus la jeune fille contrainte de résister au silence taciturne d’un père, à la folie d’une mère et à la jalousie d’une soeur. Elle n’est plus non plus l’amante de Rafael Claramunt, un écrivain/mentor qu’elle voit de temps à autre et qui est toujours escorté par un homme au nom d’emprunt, Judy Garland. Encouragée par le succès de son premier roman, elle est déterminée à placer l’écriture au coeur de son existence, être une écrivaine et une femme libre.
Quitte à composer avec la grâce des brigands.

Un narrateur anonyme nous raconte l’histoire de Maria Cristina et, très vite une chute dramatique nous vient à l’esprit par cette astuce de la narration. Mais, avant cet épilogue, laissons-le nous dire la vie de cette jeune auteur et ses multiples vies.

Car avant de devenir un auteur reconnue, cette jeune femme indépendante, Maria Cristina fut la fille de… d’un taiseux et d’une femme ayant sans doute besoin de soins et qui pour se construire se jeta dans les bras de la religion, sous sa forme la moins positive : l’intégrisme. Au fur et à mesure de cette mise en abîme de la vie passée de Maria Cristina, ce sont tous les moments de folie de sa mère qui vont émerger et qui ont fait d’elle, en partie ce qu’elle est devenue. Une construction à la dure grâce à un esprit fertile et propre à s’échapper des situations extrêmes. Mais ce vécu de l’enfance n’est pas unique, il y a aussi tous ses acquis de la jeunesse, cet exil volontaire en Californie, ses rencontres improbables avec une jeune femme émancipée et aux antipodes de son éducation : Joanne, puis avec Claramunt cet écrivain / mentor qui deviendra son amant et la pousse un peu plus dans la voie de l’écriture, tout en sachant y trouver son compte.

Des étapes dans sa vie qui, à chaque fois la poussent de l’avant. Une enfant de prime abord sans armes, mais dont l’intelligence et la force de caractère vont lui permettre de se construire et de réaliser une partie de ses rêves. Alors, une nouvelle fois, la vie n’est pas parfaite, mais cette introspection dans la vie de Maria Cristina, ses aléas et soubresauts sont finement amenés pour faire de ce texte, même raconté par une tierce personne, un récit riche et attachant.

L’épouse / Meg Wolitzer

22 samedi Oct 2016

Posted by uncoindeblog in Traduit de l'anglais (Etats-Unis)

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écrivain, célébrité, famille, Meg Wolitzer

L'épouse, roman

L’épouse / Meg Wolitzer. Traduit de l’américain par Johan Frederik Hel Guedj. Bernard Grasset, 2005. 332 pages

Les couples les plus célèbres, portés par le talent et la gloire, vivent parfois avec des secrets inavouables qui cimentent leur existence jusqu’au jour où…Ainsi des Castleman : le mari a connu un succès foudroyant avec son premier roman et va recevoir un des plus prestigieux prix littéraires pour couronner son oeuvre  ; l’épouse l’a soutenu depuis toujours avec abnégation, page après page, livre après livre, malgré ses excès, son égocentrisme et ses infidélités. A 35 000 pieds au-dessus de l’Atlantique, tandis qu’ils volent vers Helsinki, Joan décide de quitter son mari… Devra-t-elle pour cela briser leur secret au risque de tout perdre…

L’évidence saute aux yeux dès les premières pages et pourtant…. ce n’est pas sur ce chemin facile que nous entraîne Meg Wolitzer. Un à un, elle nous décrit les souvenirs de l’épouse, de sa rencontre jusqu’au moment présent. Des difficultés de l’existence avant que son mari ne connaisse la reconnaissance, de la difficulté de l’écriture mais surtout du quotidien avec un homme qui bien avant d’être acclamé par ses pairs et le public était très attiré par les femmes, faisant peu de cas de sa situation matrimoniale. En narrant les prix, distinctions reçus par le mari / l’auteur, elle ironise sur la place des conjoints (rarement masculins) ; femme de, elle se doit d’être présente, de faire bonne figure tout en restant en retrait afin que les fans puissent approcher le grand homme, et plus si affinités.

Cette épouse qui avait cru trouver le bonheur, l’émancipation comme l’échange intellectuel avec celui qui fut en premier lieu son professeur, nous montre comment elle a poursuivi cette quête tout au long de leur vie, mais sans en retirer d’autre gloire que le fait d’être Madame Castleman, l’épouse de. Elle s’interroge, une nouvelle fois, sur sa position, sur l’impact qu’a eu la notoriété, sa disponibilité de tous les instants pour son mari, sur ses propres enfants. En cet ultime moment de gloire, elle remet en cause sa place, le profond égoïsme de l’homme, cet être qu’elle connait si intimement. Et pourtant, ce si mince aura sur sa personne est enviée, jalousée et fait l’objet de flatteries de la part d’un homme antipathique, Nathaniel Bone, qui souhaite écrire l’autobiographie de l’écrivain depuis des années. Elle l’a jusque-là repoussé, mais, aujourd’hui, alors que sa décision est prise de le quitter, va-t-elle se laisser tenter de dire sa vérité, les travers et secrets de son mari ? Voilà bien l’ultime tour de force de ce roman à la fois amer et cynique par bien des passages. Meg Wolitzer raconte à merveille les réunions de ces auteurs, leur attachement à leur double mais comment ils savent également admirablement les tromper. Tout a sans doute déjà été dit sur le nombrilisme de l’auteur mais l’originalité de la forme lui permet de renouveler le propos.

En dépit de toutes ses qualités, ce roman laisse un sentiment d’amertume à la femme que je suis, car comme vous vous en doutez bien, cette épouse avait du talent mais, peu encouragée par les femmes auteurs qu’elle avait rencontrées au cours de ses années de lycée, comme par son cher mari, trop imbu de sa personne et de sa prose, son nom n’a jamais pu émerger dans le milieu littéraire. Une lecture intéressante mais en demi-teinte.

Avenue des mystères / John Irving

23 jeudi Juin 2016

Posted by uncoindeblog in Traduit de l'anglais (Etats-Unis)

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écrivain, cirque, différence, Irving, Jésuites, Mexique, mort, Oaxaca, Philippines, souvenirs, vierge

John Irving - Avenue des mystères.Avenue des mystères / John Irving. Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Josée Kamoun et Olivier Grenot. Seuil, 2016. 515 pages.

Lors d’un voyage aux Philippines, Juan Diego Guerrero, revit en rêves récurrents les épisodes qui ont marqué ses jeunes années au Mexique non loin de la décharge publique d’Oaxaca où lui et sa soeur Lupe ont grandi. C’est dans les livres abandonnés sur les ordures par un jésuite bienveillant de la mission locale que l’adolescent a appris seul à lire et à penser. Recueilli avec sa petite soeur extralucide dans un cirque, il voit son destin basculer lorsqu’un couple improbable – formé par une transsexuelle mexicaine et un ex-jésuite homo américain – l’adopte et l’emmène dans l’Iowa aux Etats-Unis.
Au terme de ses études, il devient un écrivain célèbre. Infirme depuis le jour où une voiture lui a écrasé le pied, Juan Diego a en outre le coeur fragile ; il prend régulièrement des bêtabloquants, qui le protègent des émotions et occasionnellement du Viagra… car on ne sait jamais. Des émotions justement, il en aura pendant ce voyage au contact de Miriam et Dorothy, mère et fille aussi désirables qu’inquiétantes.
Ballotté d’hôtels en aéroports, Juan Diego se remémore entre autres la mort de sa mère, femme de ménage chez les jésuites et prostituée à ses heures,  » tuée  » par une statue géante de la Vierge Marie ; la foule des pèlerins exaltés au sanctuaire de Guadalupe à Mexico ; les êtres qu’il a aimés, disparus depuis longtemps. Son destin fantasque et agité s’accomplira enfin, sur un mode mélancolique, dans une modeste église au fin fond d’un quartier pauvre de Manille.

Même si vous n’avez jamais vu de billets ici depuis 8 ans sur Irving, il faut que vous sachiez que j’aime Irving. Ses 3-4 derniers romans sont toujours sur les étagères, attendant le moment propice, le temps pour les dévorer. Alors lorsque j’ai vu la sortie de ce dernier opus, je l’ai acheté (bien entendu) mais cette fois j’ai rapidement commencé ma lecture.

C’est toujours un plaisir pour moi de retrouver cette folie douce des personnages d’Irving, ses thématiques usuelles (notons l’absence de la  lutte dans ce roman), ce qui me fait toujours autant sourire. A chaque fois, je me demande comment il va pouvoir amener ces thèmes et, les voilà, au détour de l’histoire, souvent en très bonne place dans la vie du personnage principal. Alors oui ses détracteurs verront cela comme des travers, tout comme son style, mais en ce qui me concerne, cela me donne juste envie de reprendre tous ses romans.

Juan Diego est le personnage principal et, il est lui-même romancier. John Irving lui crée bien entendu un passé pittoresque mais surtout il fait au fil des pages référence à la bibliographie de cet écrivain imaginaire, double de lui-même à travers ses écrits. Quel plaisir pour les amateurs de trouver ces clins d’oeils (je pense notamment à « L’oeuvre de Dieu, la part du diable », « Un enfant de la balle » etc…) et pour le lecteur découvrant Irving, nulle crainte car nul besoin de les connaître.

L’auteur envoie donc son personnage en voyage aux Philippines afin, notamment, de respecter une promesse faite lorsqu’il était enfant à un jeune américain. Juan Diego suit un traitement médical dont les effets secondaires sont, pour les plus pénibles selon lui : un état amorphe, l’absence de rêves et de souvenirs et de ne plus bander. Etat qu’il compense via une prescription de Viagra. Les voyages ne font pas bon ménage avec la prise de médicaments, d’autant plus lorsque vous les laissez dans votre valise, que votre vol a du retard et que vous rencontrez 2 femmes se présentant comme mère et fille et se proposent de vous aider. Juan Diego se laisse porter pour ce premier vol et redécouvre ses souvenirs. Entre son envie de se remémorer son histoire familiale, la quasi omniprésence de ces femmes et des événements externes, autant vous dire que le traitement n’est guère scrupuleusement suivi. Ce qui nous donne un va et vient entre le passé et le présent, propre à découvrir la vie de l’enfant qu’il fut, de ses batailles avec la vie comme avec la religion. Une nouvelle fois ceux qui aiment le style linéaire seront désarçonnés, pour les autres cette épopée fantaisiste et débridée va vous faire passer, comme souvent avec Irving, du rire aux (presque) larmes. Car non la vie de Juan Diego enfant-adulte ne fut pas un long fleuve tranquille.

La chute me semblait évidente, mais je pense que l’intérêt du lecteur réside dans  l’histoire de Juan Diego et de sa famille directe ou non. Comme toujours on s’attache aux personnages présent et à ceux liés au passé, même si on sait d’avance que leur absence est forcément liée à une disparition prématurée qui va constituer une partie de la trame du roman.

Toujours le même plaisir d’ouvrir un roman de John Irving.

Remèdes pour la faim / Deni Y. Béchard

28 jeudi Jan 2016

Posted by uncoindeblog in Traduit de l'anglais (Canada)

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écrivain, Deni Y. Béchard, histoire, mémoire, père, Québec

Remèdes pour la faim / Deni Y. Béchard. Traduit de l’anglais par Dominique Fortier. Alto, 2013. 577 pages.

Enfant, Deni ne savait pas qu’il était né dans une famille hors du commun. Sa mère américaine avait certes évoqué le passé de son père au Québec, mais l’arbre généalogique comportait encore bien des mystères. Un jour, il apprend enfin la vérité sur celui qu’il a toujours soupçonné de nager en eaux troubles : André Béchard était voleur de banques. Dans la tête du jeune homme germe alors une idée nourrie par son admiration pour cet homme à la violence mal contenue, absent et pourtant omniprésent: «Je serai un romancier et un hors-la-loi»

En Septembre 2014, j’ai eu la chance d’assister pendant le Festival America, au débat : Québec – l’endroit d’où je viens. En dehors des échanges, toujours fort intéressants, qui ont eu lieu  ce jour-là, j’ai découvert Deni Y. Béchard et son dernier roman paru. Un ouvrage très particulier car il contient une large part autobiographique et, est surtout un travail à la fois de mémoire et d’écriture qu’il a repris pendant de longues années. Au fil de cette histoire, nous allons découvrir en partie l’homme que fut son père, les souvenirs du narrateur mais surtout sa fascination pour les histoires et, son devenir d’écrivain en quelque sorte en construction.

Ce père a fait de lui cet écrivain de bien des façons et surtout sans le vouloir. Figure paternelle bien entendu, faite de secrets, d’histoires, de bagarres, cet homme sait sacrer comme nul autre et peut prendre de multiples visages perçus par l’enfant à différents âges mais, ces paroles ont également bercé son imaginaire et son attrait pour la lecture. Un père qui tait son ascendance québécoise, ayant très tôt fait l’amère expérience d’une différence entre ceux de langue anglaise et les québécois : des pauvres, qui se battent sans cesse et dont le parler lui-même est dénigré (voilà l’image qu’il a de lui-même). Il choisit donc de devenir américain afin de ne plus être pauvre et pour cela il deviendra également voleur. C’est un homme riche en couleurs, dans ces actes anciens et présents mais qui ne peut se détacher tout à fait  de son naturel : le mensonge, la violence qui mène la mère de Deni à le quitter.

En se séparant de lui, c’est une certaine forme de manque qui va se créer chez cet enfant dont l’esprit vagabonde et enjolive à la fois les histoires que lui a raconté son père, tout comme les faits de son passé qui lui sont distillés au compte-goutte, sa mère ne connaissant pas tout Le Dossier (comme dira plus tard une tante).

C’est à la fois une certaine forme d’errance de l’enfant qui grandit et l’envie d’en savoir plus que nous raconte le narrateur. Pour cela il nous renvoie à son passé, ses sensations et souvenirs du moment. Il ne juge pas mais cherche à connaître les histoires : la sienne, celleS de son père. Car elles sont plurielles : son enfance québécoise, les quelques bribes qu’il réussira à lui arracher (et qu’il comparera plus tard avec celles que sa famille paternelle lui donnera), son évasion vers la richesse et une certaine forme de liberté qui le conduiront en prison,  et tous ses chemins parallèles.

Original par la forme et l’histoire de cet homme, ce roman comme le dit Deni n’a pas de valeur morale, juste des souvenirs « (…) mais la mémoire continuant d’évoluer dans le temps, il est difficile de mesurer à quel point les années subséquentes ont façonné mon souvenir. (…) Au fur et à mesure que je vieillissais, [mon père] les racontait [ses histoires]différemment, révélant ou peut être ajoutant de petits détails afin de les rendre plus intéressantes à mes yeux (…). J’ai compris, pour la première fois, à travers ces « Notes de l’auteur » comment une autobiographie pouvait être réellement un roman.

L’écrivain national / Serge Joncour

27 lundi Juil 2015

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écrivain, fait divers, Joncour

L’écrivain national / Serge Joncour. Flammarion, 2014. 389 pages

Le jour où il arrive en résidence d’écriture dans une petite ville du centre de la France, Serge découvre dans la gazette locale qu’un certain Commodore, vieux maraîcher à la retraite que tous disent richissime, a disparu sans laisser de traces. On soupçonne deux jeunes « néoruraux », Aurélik et Dora, de l’avoir tué. Mais dans ce fait divers, ce qui fascine le plus l’écrivain, c’est une photo : celle de Dora dans le journal.
Dès lors, sous le regard de plus en plus suspicieux des habitants de la ville, cet « écrivain national », comme l’appelle malicieusement monsieur le Maire, va enquêter à sa manière, celle d’un auteur qui recueille les confidences et échafaude des romans, dans l’espoir de se rapprocher de la magnétique Dora. Dans une atmosphère très chabrolienne, Serge Joncour déroule une histoire à haute tension : les quelques semaines de tranquillité que promettait ce séjour d’écriture se muent, lentement mais sûrement, en une inquiétante plongée dans nos peurs contemporaines.

Serge Joncour se raconte… Du moins c’est le point de départ de ce roman où il fait s’entremêler différents styles de roman ai-je envie de dire : une part autobiographique (où il relate la vie d’un auteur connu, ses séances de dédicace etc… son quotidien), une part de terroir, un polar et un roman d’amour, le tout assaisonné de « télé réalité » via un fait divers. Et quel fait divers ! Il associe les membres de la localité qui l’a invité en résidence, des néo ruraux forcément suspects, sous un nuage éco-environnemental. N’en jetez plus me direz-vous ? Pas vraiment. Serge Joncour passe habilement d’un élément à l’autre, les croisent… ;  sous couvert de nous faire partager les aléas de sa vie d’écrivain, il nous laisse le suivre dans sa quête amoureuse, et découvrir les petites et grandes faiblesses de Donzières comme de ses personnages ou de lui-même, l’homme derrière l’écrivain.

Ce n’est pas pour moi un livre inoubliable, mais son style et ses arguments ne m’ont pas laissé de marbre et son habilité à jouer sur tous les registres m’a étonné, sans me lasser. Il sait  faire oublier au lecteur la part du roman et celle de la réalité en nous plongeant dans deux faits de notre société l’économie et une certaine vision écologique. La question que je me pose est de savoir qu’elle sera la vision d’un lecteur dans une 20aine d’années ? Comment cet ouvrage pourra-t-il lui parler ? Sans doute d’autres clés se dégageront-elles de sa lecture, mais cette accroche  aura sans doute totalement disparu.

Une lecture en demi-teinte, mais une envie de lire d’autres romans de cet auteur.

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