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Archives de Tag: adultes

Les sangs / Audrée Wilhelmy

08 mardi Nov 2016

Posted by uncoindeblog in Auteurs québecois

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adultes, Audrée Wilhelmy, auteur québécois, Barbe Bleue, mort, sang

Les sangs / Audrée Wilhelmy. Grasset, 2015. 192 pages

Un manoir obscur et fascinant, dans une cité hors du temps. Celui qu’on appelle l’Ogre attire à lui des proies presque consentantes pour les aimer puis les tuer. Mais d’où viennent ces femmes ? Pourquoi se donnent-elles à lui ? Elles le racontent dans les carnets qu’elles laissent derrière elles et que Féléor assemble en un curieux livre – ses Sangs. Mercredi, Constance, Abigaëlle, Frida, Phélie, Lottä, Marie : sept femmes, et autant d’expériences du désir et de la mort, sept écritures qui disent la féminité, le narcissisme, la soumission tantôt feinte, tantôt amusée.  Polyphonique et amorale, poétique et sulfureuse, cette réinterprétation virtuose du conte de Barbe bleue, par Audrée Wilhelmy, n’est pas pour les enfants.

Alors Karine:) avait écrit que c’était particulier, la couverture parlait de Barbe Bleue, mais voilà… je suis entrée dans la narration de Mercredi avec une bribe d’hésitation puis me suis laissée gagner par ma lecture, en quête de ce fameux ogre que je devinais mais qui ne faisait guère peur, cette jeune femme semblant beaucoup plus au fait des jeux de la séduction et amoureux que lui. Et puis, Féléor (l’ogre, le nouveau Barbe Bleue) s’est fait l’écho du journal de cette femme, et une facette du personnage à commencer à se construire.

7 histoires basées sur le même processus : courte présentation de la femme, ses écrits qui nous parlent d’elle, de cet homme, de leurs relations tantôt amoureuse, tantôt expérimentale et, en guise de conclusion, un certain point de vue, la vision de Féléor.

Oui ces narratrices n’ont pas le même style, l’une d’entre elle refuse de coucher sur le papier cette attente de l’intime, de la mort. Tantôt incroyable, limite de l’insolence, du sadisme, ces narrations conduisent toutes à la disparition, volontaire ou non, de ces femmes. Mais ces femmes ont aimé Fédéor ou le statut qu’il leur apportait et, elles nous permettent de le suivre de sa vie d’adolescent jusqu’à l’aube de sa vieillesse. Un homme – des femmes et le début d’une légende, de craintes ou de tentations. C’est tout cela qui se dégage de ce court roman qui choquera peut-être certains lecteurs mais qui m’a entraîné dans une lecture rapide et quasi ininterrompue, me demandant à chaque fois (non par voyeurisme, rassurez-vous), quels seraient les désirs (sensuel, douleur) de la prochaine, mais également comment elle concevrait sa mort. Car très vite l’une après l’autre elles savent quel sera leur destin et, Fédéor laisse leur imagination lui souffler leur destin.

Irrévocablement pour adultes. A découvrir avec quelques messages d’avertissements, mais indéniablement bien troussé à mes yeux.

Le billet d’Enna,

Habibi / Craig Thompson

03 jeudi Sep 2015

Posted by uncoindeblog in Pour les grands et les petits, Traduit de l'anglais

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adultes, BD, roman graphique, Thompson

amaricaLe Mois américain chez Titine (cliquer sur l’image)

Habibi / Craig Thompson. Traduit de l’anglais (américain) par Anne-Julia & Walter Appel, Paul Pichereau, Laëtitia & Frédéric Vivien. Casterman, 2011. (écritures). 671 pages.

Ancré dans un paysage épique de déserts, harems et bâtiments industriels, Habibi raconte l’histoire de Dodola et Zam, deux enfants liés par le hasard, puis par un amour grandissant. Réfugiés dans l’improbable épave d’un bateau échoué en plein désert, ils essaient de survivre dans un monde violent et corrompu. Seule la sagesse des récits narrés par la jeune femme, issus des Livres sacrés et des traditions orientales, pourra les protéger de l’avidité des hommes.
A la fois contemporain et intemporel, Habibi est une histoire d’amour aux résonances multiples, une parabole sensible et lucide sur le monde moderne et la relation à l’autre. Avec Habibi, Craig Thompson signe un travail graphique d’une impressionnante sophistication, marqué du sceau du merveilleux.

C’est la couverture de ce roman graphique qui m’a tout d’abord attiré. Son épaisseur m’a surprise et je n’étais pas au bout de mes surprises. A la fois imaginaire et réel, cet ouvrage est fait de contrastes : par son graphisme, dans l’histoire elle-même qui mêle le quotidien, parfois âpre et la vie rêvée qui se brise si rapidement, le tout entrecoupé de références érudites sur le Coran et la Bible, les secrets de la calligraphie arabe, des extraits de légendes et des bribes de récits à la façon de Mille et Une nuits. Histoire dans l’histoire lorsque le sultan donne un certain nombre de nuits à Dodola avant de se lasser d’elle, avant de la tuer. Forcément la référence à Shéhérazade est aisée dans ce contexte, mais bien d’autres histoires se retrouvent dans ce conte quasi sans fin si ce n’est l’espoir pour Dodola et Zam de se retrouver un jour.

Avancée du désert,  folie et violence des hommes, esclavage, Craig Thompson semble avoir réellement voulu condenser bon nombre de thématiques qui lui sont chers. Alors parfois, la lectrice que je suis fut un peu désarçonnée, tant d’érudition au coeur d’un récit à la fois si dur et si tendre, au réalisme cru ; ainsi, on découvre que ce n’est pas grâce à la bonté d’âme des caravaniers que Dodola revient avec des provisions. A la manière de Zam, lentement mais amèrement on découvre la réalité. Dodola le berce, lui raconte des histoires dans lesquelles nous nous laissons entrainer. Jusqu’à son enlèvement…

Zam et Dodola n’auront plus qu’un seul but : se retrouver mais pour cela ils vont devoir traverser bien d’autres univers, bien loin de leur paradis / bateau perdu. Soubresauts du quotidien, de notre futur, une nouvelle fois l’auteur se fait le chantre de ses craintes : la guerre de l’eau, les problèmes environnementaux. Mais Zam et Dodola, envers et contre tout, font face et reprennent le chemin de leur vie, unissant leurs cultures, leurs couleurs de peau, leur sensualité et leurs souffrances passées.

A découvrir, à reprendre tranquillement sans se bousculer tant ces récits se mêlent et les clés de lecture sont différentes, dépendant certainement de ce que l’on y cherche ou de ce l’on veut bien y voir.

Une place à prendre / J-K. Rowling

19 mercredi Août 2015

Posted by uncoindeblog in Traduit de l'anglais

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adultes, campagne, JK Rowling, Pagford

Une place à prendre / J-K. Rowling. Traduit de l’anglais par Pierre Demarty. Grasset, 2012. 680 pages

Bienvenue à Pagford, petite bourgade en apparence idyllique. Un notable meurt. Sa place est à prendre… Comédie de moeurs, tragédie teintée d’humour noir, satire féroce de nos hypocrisies sociales et intimes, ce premier roman pour adultes révèle sous un jour inattendu un écrivain prodige.

Je poursuis dans les ouvrages récents et dont personne ne parle 🙂 Ne cherchez pas la féérie ou le gentil orphelin binoclard, J-K Rowling a opté pour un roman à l’opposé de sa fresque Harry Potter. Ici tout n’est que ragots, médisances et vie quotidienne. Dire qu’il s’agit d’une comédie de moeurs serait un raccourci facile, mais il est vrai que la population étudiée est parfois proche de la caricature, mais néanmoins tellement réelle. J’ai longtemps habité dans un minuscule village (bien moins imposant que celui-ci), sans ses atouts historiques, mais je dois avouer que la curiosité des voisins et leur joie à commenter faits et gestes des uns et des autres restent un souvenir encore bien vivace dans mon esprit.

Au fil des pages, nous allons découvrir que, sous les jolies façades, les sourires et les engagements dans la vie de Pagford, tout n’est vraiment qu’apparence. L’intérêt du roman est qu’il suit différents habitants de ce village (j’ai cru me perdre dans les premières pages), de condition sociale différente, d’âges différents. S’y ajoute quelques non pagfordien et, au suprême horreur pour certains, des habitants de la ville voisine mais dont le terrain jouxte et dépend de la commune, notamment le centre de désintoxication. « Les Champs », nom de ce quartier défavorisé où est né Barry, le conseiller paroissial , qui décède dans les premières pages, et dont la place est désormais vacante. Né dans ce quartier et ayant réussi à s’en sortir, doué pour voir le meilleur dans les personnes laissées sur le bas-côté, il se battait contre le conseiller (/maire) de Pagford : Howard Mollison. Le décès de Barry et sa place vacante va permettre de lever le voile sur bon nombre de travers de conseillers actifs ou potentiels. Les faits s’enchaînent dans la continuité du roman, alors que l’on apprend toujours davantage sur les personnages, leurs travers et leurs petits secrets. Les adolescents figurent en bonne place dans ce roman, car ils font être parfois les éléments déclencheurs de la suite des péripéties.

Parfois drôle, cruel dans la réalité des faits, notamment dans le quotidien de Krystal ou dans l’histoire de sa mère, on voit également les couples à différents âges prêts à se défaire ou à revenir sur des rancoeurs passés. Aucun des personnages n’est un ange, chacun a ses travers et Barry, le bien aimé, voit lui-aussi, son auréole mise à mal.

Un très bon cru. Je suis d’autant plus ravie que je n’attendais rien de particulier de cet ouvrage.

La traversée du Louvre / David Prudhomme

09 dimanche Août 2015

Posted by uncoindeblog in #Un peu de lecture, Pour les grands et les petits

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adultes, BD, Le Louvre, Prudhomme

La traversée du Louvre / David Prudhomme. Futuropolis, Musée du Louvre, 2012. 74 pages.

David Prudhomme déambule dans les galeries du musée du Louvre. Son regard embrasse les œuvres exposées, autant de chefs-d’œuvre proposés dans un espace ordonné et pensé avec soin. 35 000 œuvres côtoient ainsi les quelque dizaines de milliers de visiteurs journaliers. Car le regard de David ne se pose pas uniquement sur les tableaux, sculptures ou objets du musée… mais aussi sur leurs spectateurs. Le voilà qui observe l’étrange ballet muet qui se tisse entre les œuvres et leurs visiteurs.
Couple enlacé devant Le radeau de la Méduse, homme solitaire happé dans la contemplation du scribe accroupi ou groupes agglutinés devant la Joconde, rien n’échappe au pinceau alerte de David Prudhomme, qui saisit sur le vif les attitudes des uns et des autres devant l’Art… Car combien de musées, comme le Louvre, permettent à autant de gens d’horizons si différents de se retrouver dans le même désir de se cultiver ?

Bien embêtée pour vous chroniquer cette superbe BD car je dois avouer que je suis absolument nulle en dessin et que j’ai une nette préférence pour la ligne claire (un dessin simple, destiné aux enfants selon certains). Alors j’ai beau essayer de sortir de mon cadre habituel, il m’est toujours difficile d’appréhender un autre style. Néanmoins, cette BD m’a fait de l’oeil, je la voyais un peu comme un pendant à celle de Davodeau « Le chien qui louche » dont Le Louvre était un acteur essentiel. Et j’y ai retrouvé bon nombre de sensations, de relations, bien que ces BDs soient totalement différentes.

J’aime cette mise en abîme du dessinateur dans sa BD, comme j’aime son regard sur les oeuvres et les personnes qui vont et viennent dans ce musée. A la manière des visiteurs dont un 3ème oeil s’est greffé (présence des appareils photos sous différentes formes)Résultat de recherche d'images pour ""la traversée du Louvre" prudhomme", David Prudhomme lui, semble voir le musée à travers les cases de sa BD, un regard pour une case qu’il nous rend drôle, sensible, vrai. Montrant à la fois les différentes facettes et salles du musée, la façon dont tout un chacun vit cette visite. Il rend le ton juste de tous ses passants d’une minute (vite une photo avec la Joconde), avant de poursuivre au pas de course la visite du musée, de tout voir (impossible !), de conserver des souvenirs via des photos / portraits, de style : pose en symbiose avec l’oeuvre, ou voulu comme telle. Parfois il n’y a que lui et son art pour voir les choses ainsi et il sait à merveille nous le restituer via ses dessins (l’exemple trouvé n’est pas celui auquel je pensais, mais cela vous donne une petite idée, de la vision et de l’imagination du dessinateur). Une visite / traversée du Louvre certainement différente de celle à laquelle vous vous attendiez et un regard un brin impertinent sur la relation  de l’homme et des oeuvres à travers les âges. Et lorsque vous sortirez du musée, à l’image de David Prudhomme d’autres images se fixeront sur votre rétine. Je vous laisse découvrir lesquelles, mais sans doute les voyez-vous déjà…

 

Résultat de recherche d'images pour ""la traversée du Louvre" prudhomme"

Et dire qu’il y a 20 ans, cette Dentelière était dans une micro salle (un couloir), pas tous les jours ouverte au public et, qu’il n’y avait jamais personne.

You-ou retournez-vous, le tableau derrière vous est beaucoup plus intéressant (à mes yeux) : Les noces de Cana.

Sherlock Holmes / Cordurié, Laci, Fattori

05 vendredi Juin 2015

Posted by uncoindeblog in Pour les grands et les petits

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adultes, BD, Moriarty, Sherlock Holmes

Pour bien terminer cette semaine du Mois Anglais, une série de plus consacrée à Sherlock Holmes. Oui c’est la thématique que j’ai choisi cette semaine et il est très facile de poursuivre sur le sujet.

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Sherlock Holmes & les voyageurs du temps. 1/2. La Trame / Sylvain Cordurié, Vladimir Krstiic-Laci. Soleil, 2014 (1800). 48 pages – Lien vers la collection.    Sherlock Holmes. Les Chroniques de Moriarty. 1. Renaissance / Sylvain Cordurié. Andrea Fattori. Soleil, 2014 (1800). 48 pages

Sherlock Holmes et les voyageurs du temps 01 - La TrameJ’ai découvert par hasard cette collection et cet auteur qui n’en est pas à son galop d’essai. Ainsi il avait commencé par un diptyque intitulé « Sherlock Holmes et les vampires de Londres ». Le succès étant au rendez-vous d’autres se sont ajoutés. Voici 2 nouveautés distinctes mais qui font suite aux précédents tout en pouvant être lus de manière indépendante.

Au niveau graphique et histoire, et n’ayant lu que les 1ers volumes ma préférence va aux « voyageurs du temps ». Sauf erreur de ma part, Sylvain Cordurié travaille sur les personnages de Conan Doyle mais il y a ajouté une part de fantasy qui lui est propre. Dans le volume cité, c’est donc la notion de voyage à travers le temps qui est traité, clin d’oeil appuyé à H.G. Wells et à d’autres auteurs : bracelet, trame temporel et personnages venus du futur ayant arraché la connaissance au scientifique qui s’était lui-même utilisé comme cobaye. La trame repose sur la recherche de ce voyageur qui pourrait bien changer le monde. Et s’il avait fait disparaitre la Reine Victoria et pris sa place ? !! Par bien des aspects : personnages imaginaires rencontrant des personnages historiques ainsi que l’aspect futuriste, tout cela n’est pas sans me rappeler certains épisodes du Doctor Who (et plus particulièrement celui où il croise la Reine). Bref je suis fort intriguée par ce diptyque et fort impatiente d’en connaître la conclusion. Des personnages dont un médium qui aide Sherlock et qui appartient à des volumes précédents ont éveillé ma curiosité et m’incitent à essayer de lire les volumes qui ont précédé.

« Les Chroniques de Moriarty » nous plongent davantage dans l’occulte et le combat avec les Dieux. Il fait suite à la série « Sherlock Holmes et le Necronomicon ». Nul trace de Sherlock car la série est désormais consacrée à Moriarty revenu d’entre les morts, fort de nouveaux pouvoirs après avoir combattu les anciens Dieux. Il recherche les derniers exemplaires du Necronomicon afin de les détruire ayant pris conscience des dangers de l’ouvrage. On assiste tour à tour à ses recherches et au récit de sa lutte pour revenir parmi les vivants, tout en apprenant des Dieux. Plus difficile au niveau visuel et donc moins facile à appréhender, cela n’en reste néanmoins un volume intéressant et connaissant ma curiosité, je vais m’efforcer de trouver la suite dès que possible.

A découvrir si ces séries vous intriguent et que vous n’êtes pas contre des pointes de fantastique.

Holmes (1854-1891?) / Cecil & Brunschwig

03 mercredi Juin 2015

Posted by uncoindeblog in Pour les grands et les petits

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adultes, Baker Street, BD, Brunschwig, Cecil, Chutes de Reichenbach, Holmes, Moriarty, Watson

Holmes (1854-1891?). Livre 1. L’adieu à Baker Street. 2. Les liens du sang. 3. L’ombre du doute  / Cecil & Brunschwig.Futuropolis, 2008-2012. 47 pages. Livre 4 à paraître mi-juin

4 mai 1891, Sherlock Holmes disparaît aux Chutes de Reichenbach. Pour son frère, Mycroft Holmes, sa mort est le suicide déguisé d’un homme qui ne pouvait se résoudre à voir son cerveau détruit par la drogue. (…) Malgré les preuves apportées par Mycroft, Watson se refuse de croire à cette version des faits.
Il se lance à travers l’Europe entière dans une incroyable enquête qui va tout lui révéler de l’histoire de Sherlock Holmes et de sa famille.

Je n’avais pas prêté attention à la thématique de ces albums consacrés à Sherlock Holmes. Et pour une surprise, ce fut une surprise… formidable. Formidable, cette idée de partir de la mort de Sherlock, tué par son auteur comme ce volume nous le rappelle dans la postface ainsi que les conditions de cette disparition et les mystères entourant son retour : 2 ans de silence et beaucoup d’ombres tout autour. Dans la préface c’est le combat à mort entre Moriarty et Sherlock qui est rappelé et la découverte des « faits » par Watson s’enchaîne aussitôt. Tout de suite nous voici plongés dans l’étrange, dans la souffrance de Watson. Chaque image est un tableau, une recherche dans le dessin qui va aller en s’accentuant dans les volumes qui suivent. Le graphisme est en noir et blanc mais convient parfaitement à cette quête, les aspects sombres de la vie et de la mort de Sherlock, des mystères qui entourent sa vie, comme sa famille que Watson découvre un par un.

C’est un Watson tourmenté, assisté de son agent littéraire, Conan Doyle lui-même (quel pied de nez, c’est fort bien trouvé et fort bien inséré dans l’histoire, n’en déplaise aux puristes), de son épouse et aidé par Simeon Wiggins, chef des irréguliers de Baker Street (devenu Détective amateur et recommandé par Sherlock lui-même) que l’on suit dans ces livres. Bref vous l’aurez compris les auteurs s’accordent des licences pour notre plus grand plaisir. C’est un monde étrange, plus fantasque que le monde de Sherlock qu’ils nous proposent. Et vous n’êtes pas au bout de vos surprises car Moriarty va bientôt apparaître et son histoire est lié à celle de Sherlock. Mais je ne peux en dire plus.

Vous l’aurez compris, je suis totalement conquise par cette série, par tous ces éléments novateurs et qui s’appuient en même temps sur les écrits du père de Sherlock. Un seul regret : que tous les albums ne soient pas encore disponibles. Je ne pense pas que le prochain volume soit le dernier et il ne me reste plus qu’à me morfondre en patientant jusqu’à leur parution.

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